la Fondation de la Vocation , la promotion 1995 , les autres lauréats
dernière mise à jour : le 21 Mai 2002
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![]() | LAPINS, rats, serpents, moineaux, pies, merles, poules, canards et dindons se sont succédés dans notre appartement parisien. Et dire que mon père ne supportait pas les animaux ! J'ai passé le baccalauréat à dix-sept ans et j'ai été vétérinaire à vingt-trois. J'ai décidé d'aborder la sauvegarde des espèces en voie de disparition par le biais de la reproduction. |
![]() | Vivant avec l'une de mes soeurs et notre père poète, né en 1900, j'ai toujours bénéficié de bourses. J'ai passé un an au Burkina Faso pour ma thèse de troisième cycle mais la naissance très prématurée de mon fils m'a obligée à revenir en France. Je me suis retrouvée, contrat rompu, sans travail ni allocation chômage mais rien n'aurait pu me faire renoncer à ma vocation. |
![]() | Après une période difficile j'ai repris mes recherches au Muséum National d'Histoire Naturelle. Je me suis intéressée à la biologie de la reproduction du Pudu, petit cervidé chilien et du Bhoral, chèvre himalayenne. En 1994 j'ai passé ma thèse sur l'étude de l'astrus chez l'Oryx d'Arabie, espèce symbolique puisqu'elle a été paradoxalement exterminée puis sauvée par l'homme. |
![]() | Le Professeur Jalbaer me convie dans son laboratoire à Londres pour parfaire ma formation en fécondation in vitro et insémination par endoscopie. J'irai ensuite au Vietnam où le Gaur, le Karprey, le Bauteng, le Prendaxé... disparaissent, pour former des chercheurs vietnamiens à ces méthodes. Sans le financement de la Fondation, je n'aurais pas pu partir. |
la Fondation de la Vocation , la promotion 1995 , les autres lauréats
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